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[A SAVOIR ] On vous dit tout sur les bornes de recharge des voitures électriques

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Chez les particuliers, sur les parkings des centres commerciaux, des entreprises (ex à la Technopôle Hélioparc où l’équipe d’ABE en a récemment installé six dans une première phase), les points de recharge pour véhicules électriques poussent comme des champignons (c’est la saison !)

Leur performances de recharge sont variables et dépendent de plusieurs facteurs.

Les 6 facteurs qui impactent le temps de charge

1. La capacité de la batterie

Les voitures électriques ont chacune un pack batterie qui va déterminer le temps de charge. Plus sa capacité (en kWh) est importante, plus le temps de charge va être long.

2. La puissance de la borne

La puissance de la borne a aussi un impact sur le temps de charge. Les dispositifs peuvent aller de 2.3kWh à 250kWh pour une recharge publique. L’équipe ABE saura vous conseiller sur la puissance la plus adaptée à votre utilisation.

3. Le câble de recharge

La câble d’alimentation doit être dimensionné en fonction de la puissance de la borne : si la capacité tolérée du câble de recharge (3.7kWh, 7.4kWh ou 22kWh en triphasé) est inférieure à la puissance de la borne, c’est celle du câble qui déterminera la puissance de charge et donc le temps de charge.

4. La puissance acceptée par la voiture

C’est l’un des facteurs qui pèse le plus sur les temps de recharge. Il dépend du connecteur installé sur la voiture. Les prises T2, déjà très répandues, et Combo CCS et CHAdeMO offrent des puissances de charge de 3,7 à 22 kW. Un connecteur de charge rapide offre la possibilité de récupérer en 30 minutes jusqu’à 80 % d’énergie lorsqu’il est connecté sur une borne adaptée.

5. L’état de charge

Il est naturellement plus rapide de charger une batterie à moitié pleine qu’une batterie vide. A noter que la charger à 80% est plus rapide également qu’à 100% : ce sont les derniers % les plus longs.

6. La météo

Les modèles électriques sont pour la plupart équipés d’un calculateur et d’un contrôleur de température. En effet, les froids extrêmes ou les grosses chaleurs peuvent freiner voire arrêter la charge.

La puissance de la borne a aussi un impact sur le temps de charge. Les dispositifs peuvent aller de 2.3kWh à 250kWh pour une recharge publique. L’équipe ABE saura vous conseiller sur la puissance la plus adaptée à votre utilisation.

3. Le câble de recharge

La câble d’alimentation doit être dimensionné en fonction de la puissance de la borne : si la capacité tolérée du câble de recharge (3.7kWh, 7.4kWh ou 22kWh en triphasé) est inférieure à la puissance de la borne, c’est celle du câble qui déterminera la puissance de charge et donc le temps de charge.

4. La puissance acceptée par la voiture

C’est l’un des facteurs qui pèse le plus sur les temps de recharge. Il dépend du connecteur installé sur la voiture. Les prises T2, déjà très répandues, et Combo CCS et CHAdeMO offrent des puissances de charge de 3,7 à 22 kW. Un connecteur de charge rapide offre la possibilité de récupérer en 30 minutes jusqu’à 80 % d’énergie lorsqu’il est connecté sur une borne adaptée.

5. L’état de charge

Il est naturellement plus rapide de charger une batterie à moitié pleine qu’une batterie vide. A noter que la charger à 80% est plus rapide également qu’à 100% : ce sont les derniers % les plus longs.

6. La météo

Les modèles électriques sont pour la plupart équipés d’un calculateur et d’un contrôleur de température. En effet, les froids extrêmes ou les grosses chaleurs peuvent freiner voire arrêter la charge.

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portrait antoine

Antoine

Électricien apprenti

Une belle rencontre entre opportunité et détermination

Quand Antoine a quitté la Seine-et-Marne pour venir s’installer dans le Sud-Ouest, il cherchait plus qu’un simple travail. Il voulait du soleil, de la bonne humeur, et un cadre de vie entre mer et montagne. Mais ce qu’il n’avait pas prévu, c’est que son emploi chez ABE allait arriver aussi vite que son installation.

Alors qu’il visitait des appartements, il repère des électriciens travaillant sur un immeuble. Curieux et opportuniste, il note les contacts des entreprises intervenantes et les appelle dans la foulée. Seule Corinne lui répond. Il ne laisse pas passer sa chance : CV déposé, entretien immédiat, embauche en CDD dans la foulée. Une belle preuve que l’audace paie toujours !

Depuis septembre, Antoine a trouvé sa place chez ABE. Il a d’abord commencé sur les chantiers tertiaires, avant de passer à la rénovation et au logement, un domaine qu’il ne connaissait pas bien au départ. « J’avais une petite appréhension, mais finalement, j’adore la diversité des chantiers et le côté technique qui demande réflexion et concentration. »

L’un de ses souvenirs marquants ? Un repas partagé avec des occupants de logements et les équipes sur un chantier. Un couscous traditionnel préparé pour eux, un moment de convivialité qui reste gravé dans sa mémoire : « C’est aussi un signe de reconnaissance ! »

Avide de connaissances et motivé par l’évolution professionnelle, Antoine voit déjà plus loin. Un jour, il espère bien prendre la place de Pierre-Marie ou Kévin sur un poste à responsabilités. Et vu son dynamisme, on prend les paris qu’il y arrivera !

josé ABE

José TABORDA

Électricien

José a 54 ans. Et dans son parcours, l’électricité n’était pas une vocation, mais un chemin qu’il a choisi d’arpenter avec cœur et constance.
À l’époque, il voulait faire un métier manuel. Au collège, on l’oriente vers les métiers du bâtiment, « de base », comme on disait alors. Ce sera l’électrotechnique. Il décroche son CAP puis son BEP, et entre en apprentissage chez Sotelec, en Seine-et-Marne.

Là, il grimpe tous les échelons, de manœuvre à chef de chantier. Il se spécialise dans des domaines techniques exigeants, comme la fibre optique et les baies informatiques. Un bagage solide, forgé sur le terrain.

Il y a environ trois ans, la vie l’oblige à tout remettre à plat. Besoin de changer d’air, de rythme, de priorités… Il déménage avec sa femme et ses enfants dans le Sud-Ouest pour reconstruire une vie où la qualité de vie prend toute sa place. José travaille alors en intérim, avant de rejoindre ABE Électricité en CDI à l’été 2025.

Aujourd’hui, il touche à tout, redécouvre le fonctionnement d’une petite structure après des années dans un grand groupe. Il s’y sent bien. Peut-être parce que chez ABE, la notion de famille compte, et qu’elle fait écho à ses propres valeurs.

José n’a pas l’intention de s’endormir en attendant la retraite. Il envisage de reprendre une casquette de chef de chantier. En attendant, il transmet ce qu’il a appris : le goût du métier, les gestes du quotidien, la rigueur du travail bien fait.
« Sur le terrain, c’est là que la passion se transmet. »
Et José le fait avec calme, bienveillance, et une vraie envie de voir les plus jeunes progresser.

Kélian FERRO

Électricien apprenti

À 16 ans, Kélian a déjà les idées claires.
Un TP en 3e, et c’est la révélation : l’électricité… c’est ça qu’il fera l’année prochaine !

Il s’inscrit directement pour faire son CAP au lycée des métiers de l’habitat à Gelos, en formation initiale, et prévoit de poursuivre ensuite avec un BEP en apprentissage. Pour trouver une entreprise d’accueil, il postule un peu partout… sans connaître personne.
Le hasard le mène chez ABE. Et ça colle tout de suite.

Depuis septembre, il est en binôme avec José, qu’il remercie pour sa patience et sa pédagogie. Il découvre un univers bien différent de celui du lycée :

“En entreprise, rien à voir avec les cours. Tout n’est pas parfait comme sur les plans. Il faut s’adapter, chercher des alternatives… et ça, j’adore.”

Kélian touche un peu à tout, mais se sent déjà plus à l’aise dans les logements, où il a l’impression d’être plus utile. Et il a de l’ambition : il pense déjà à obtenir un BTS, avec l’envie féroce, comme un objectif de vie de créer un jour sa propre entreprise.

En attendant, il profite à fond de ce que l’équipe lui offre : un environnement bienveillant, familial, dynamique. Une belle première expérience, fondatrice.

Et pour ceux qui le connaissent un peu mieux, Kélian est aussi ceinture noire de judo. Une discipline qui, comme l’électricité, demande rigueur, maîtrise des gestes, et une bonne dose d’anticipation. Tout un état d’esprit.