Agence béarnaise d'électricité

[A SAVOIR ] Chantiers tertiaires, de quoi parle-t-on ?

image-6

Parmi les activités du groupe ABE, le tertiaire tient une place de plus en plus importante : centre de dialyse, crèche, bureaux de la technopôle Hélioparc, futurs commerces de la galerie Joffre à Pau… les références du groupe ne manquent pas.
Mais quelle différence existe-t-il entre les installations électriques dans le tertiaire et dans le privé ? Nous allons tenter d’expliquer les spécificités des chantiers dits tertiaires dans cet article.

 

Qu’est-ce que l’électricité tertiaire ?

Le terme « électricité tertiaire » est réducteur puisqu’il s’agit en réalité d’électricité dans le secteur tertiaire. Il faut donc revenir à la définition de secteur tertiaire pour savoir exactement de quel secteur d’activité il s’agit d’intervenir. Pour faire simple, l’électricité tertiaire désigne toutes les installations électriques qui ne concernent pas le Logement, et les process industriels (capteurs, automatisme, chaînes de productions).  Des exemples ? L’installation électrique dans les magasins, dans les hôpitaux, dans le secteur administratif, bureautique, les Etablissements Recevant du Public (ERP) ou par exemple chez un spécialiste de la vente en ligne de pot de miel (clin d’œil à Abeille & Cie) qui possède forcément des bureaux et un entrepôt de stockage.

Bref, l’électricité dans le secteur tertiaire concerne un large secteur de professions et de bâtiments. Les installations électriques dans le tertiaire (courant fort et courant faible), couvrent des domaines tels que l’éclairage, la ventilation, la climatisation, le chauffage, les réseaux de communications téléphoniques, informatiques, la sécurité incendie etc… Voilà très exactement les compétences que les équipes du groupe ABE sont capables de mettre en œuvre pour leurs clients. De plus, régulièrement formés, ils sont au fait des dernière règles à appliquer et mettre en œuvre sur les spécificités du tertiaire

 

Quelles sont les spécificités de l’électricité dans le tertiaire ?

 

Du matériel spécifique

Le matériel électrique à mettre en oeuvre est lui aussi différent : répartiteur tétrapolaire, bobine MX, télécommande de BAES….

Un éclairage et des normes particulières

Un point parmi d’autre, la conception de l’éclairage est totalement différente de ce qui se fait pour une habitation : la réglementation concernant l’éclairage pour les travailleurs (ou pour le public) est précise. Elle doit respecter un niveau d’éclairement, une uniformité spécifique à chaque local (atelier, salles de classes, circulations, bureaux etc..). Le matériel mis en œuvre doit lui répondre à des Indices de protections (Poussière, humidité et choc) qui eux aussi sont différent selon le local éclairé.

Tout comme les réglementations et normes (dont la norme NF C 15-100) et les règles liées à la sécurité sont plus importantes, mais aussi plus compliquées à interpréter.

Électricité tertiaire : des normes de sécurité pointues

Un local professionnel se caractérise par sa capacité à accueillir aussi bien les travailleurs que le public. D’où l’appellation ERP, Établissement Recevant du Public. Du fait de leurs capacités à accueillir le public, les locaux professionnels doivent être régis par des normes de sécurité très pointues. Dans le cadre de l’électricité tertiaire, un électricien spécialisé doit respecter toutes ses normes en vigueur et savoir mettre en place du matériel adapté tels que le BAES ( Bloc Autonome d’Éclairage de Sécurité) ou l’installation d’un arrêt d’urgence électrique.

 

 

Concevoir ou maintenir une installation électrique dans le domaine du tertiaire est donc une spécificité bien à part du métier d’électricien.
Conception neuve, dépannage en urgence ou encore mise en conformité font partie des activités ponctuelles ou récurrentes pour l’électricien.

Électriciens spécialisés dans l’installation électrique pour professionnel du tertiaire dans les Pyrénées-Atlantiques, nous mettons toute notre expertise à votre service !

Facebook
Pinterest
Twitter
LinkedIn
portrait antoine

Antoine

Électricien apprenti

Une belle rencontre entre opportunité et détermination

Quand Antoine a quitté la Seine-et-Marne pour venir s’installer dans le Sud-Ouest, il cherchait plus qu’un simple travail. Il voulait du soleil, de la bonne humeur, et un cadre de vie entre mer et montagne. Mais ce qu’il n’avait pas prévu, c’est que son emploi chez ABE allait arriver aussi vite que son installation.

Alors qu’il visitait des appartements, il repère des électriciens travaillant sur un immeuble. Curieux et opportuniste, il note les contacts des entreprises intervenantes et les appelle dans la foulée. Seule Corinne lui répond. Il ne laisse pas passer sa chance : CV déposé, entretien immédiat, embauche en CDD dans la foulée. Une belle preuve que l’audace paie toujours !

Depuis septembre, Antoine a trouvé sa place chez ABE. Il a d’abord commencé sur les chantiers tertiaires, avant de passer à la rénovation et au logement, un domaine qu’il ne connaissait pas bien au départ. « J’avais une petite appréhension, mais finalement, j’adore la diversité des chantiers et le côté technique qui demande réflexion et concentration. »

L’un de ses souvenirs marquants ? Un repas partagé avec des occupants de logements et les équipes sur un chantier. Un couscous traditionnel préparé pour eux, un moment de convivialité qui reste gravé dans sa mémoire : « C’est aussi un signe de reconnaissance ! »

Avide de connaissances et motivé par l’évolution professionnelle, Antoine voit déjà plus loin. Un jour, il espère bien prendre la place de Pierre-Marie ou Kévin sur un poste à responsabilités. Et vu son dynamisme, on prend les paris qu’il y arrivera !

josé ABE

José TABORDA

Électricien

José a 54 ans. Et dans son parcours, l’électricité n’était pas une vocation, mais un chemin qu’il a choisi d’arpenter avec cœur et constance.
À l’époque, il voulait faire un métier manuel. Au collège, on l’oriente vers les métiers du bâtiment, « de base », comme on disait alors. Ce sera l’électrotechnique. Il décroche son CAP puis son BEP, et entre en apprentissage chez Sotelec, en Seine-et-Marne.

Là, il grimpe tous les échelons, de manœuvre à chef de chantier. Il se spécialise dans des domaines techniques exigeants, comme la fibre optique et les baies informatiques. Un bagage solide, forgé sur le terrain.

Il y a environ trois ans, la vie l’oblige à tout remettre à plat. Besoin de changer d’air, de rythme, de priorités… Il déménage avec sa femme et ses enfants dans le Sud-Ouest pour reconstruire une vie où la qualité de vie prend toute sa place. José travaille alors en intérim, avant de rejoindre ABE Électricité en CDI à l’été 2025.

Aujourd’hui, il touche à tout, redécouvre le fonctionnement d’une petite structure après des années dans un grand groupe. Il s’y sent bien. Peut-être parce que chez ABE, la notion de famille compte, et qu’elle fait écho à ses propres valeurs.

José n’a pas l’intention de s’endormir en attendant la retraite. Il envisage de reprendre une casquette de chef de chantier. En attendant, il transmet ce qu’il a appris : le goût du métier, les gestes du quotidien, la rigueur du travail bien fait.
« Sur le terrain, c’est là que la passion se transmet. »
Et José le fait avec calme, bienveillance, et une vraie envie de voir les plus jeunes progresser.

Kélian FERRO

Électricien apprenti

À 16 ans, Kélian a déjà les idées claires.
Un TP en 3e, et c’est la révélation : l’électricité… c’est ça qu’il fera l’année prochaine !

Il s’inscrit directement pour faire son CAP au lycée des métiers de l’habitat à Gelos, en formation initiale, et prévoit de poursuivre ensuite avec un BEP en apprentissage. Pour trouver une entreprise d’accueil, il postule un peu partout… sans connaître personne.
Le hasard le mène chez ABE. Et ça colle tout de suite.

Depuis septembre, il est en binôme avec José, qu’il remercie pour sa patience et sa pédagogie. Il découvre un univers bien différent de celui du lycée :

“En entreprise, rien à voir avec les cours. Tout n’est pas parfait comme sur les plans. Il faut s’adapter, chercher des alternatives… et ça, j’adore.”

Kélian touche un peu à tout, mais se sent déjà plus à l’aise dans les logements, où il a l’impression d’être plus utile. Et il a de l’ambition : il pense déjà à obtenir un BTS, avec l’envie féroce, comme un objectif de vie de créer un jour sa propre entreprise.

En attendant, il profite à fond de ce que l’équipe lui offre : un environnement bienveillant, familial, dynamique. Une belle première expérience, fondatrice.

Et pour ceux qui le connaissent un peu mieux, Kélian est aussi ceinture noire de judo. Une discipline qui, comme l’électricité, demande rigueur, maîtrise des gestes, et une bonne dose d’anticipation. Tout un état d’esprit.